Je cours, je cours
Malgré les longs week-ends de ce mois de mai, j’ai l’impression de ne pas arrêter de courir après le temps.
Peut-être parce qu’avec un jour de moins, il faut quand même réaliser et boucler le même magazine que d’habitude.
Peut-être parce qu’avec les vertiges et la fatigue qui m’assaillent, tout me paraît plus pesant.
Peut-être parce que dans tout ce tourbillon, j’ai à peine le temps de lire.
Et puis aussi, peut-être parce que ce mois de mai est joliment chargé côté culture et que, si je n’ai pas le nez plongé dans un livre aussi souvent que je le voudrais, il se passe quand même des belles choses. Des trucs rigolos, des trucs étonnants, de vraies belles émotions et de jolies rencontres:
Une expérience étonnante de danse.
Une chouette rencontre avec un grand critique de danse.
Une surprenante et intelligente pièce de théâtre dans une rue, dans des voitures.
Une jolie exposition.
Un anniversaire qui semble ne jamais avoir de fin : eh oui encore reçu deux jolis colis la semaine dernière !
Une rencontre vraiment agréable et intéressante – que dis-je des rencontres ! - avec l’auteur et illustratrice Beatrice Alemagna en visite sur l’île.
Les débuts des répétitions pour le spectacle de danse.
Une Loute qui a les yeux qui brillent en sortant d’une dégustation ludique et « délirante » organisée par deux jeunes et gentilles designers culinaires.
Une soirée projection de courts-métrages où l’on a vu de jolies choses, notamment un film de Beatrice Alemagna et un de Tim Burton.
Une séance photo rigolote (et douloureuse ;-).
Une gentille dédicace dans un beau bouquin.
Une projection de « Lettre à Lou », documentaire touchant et véritable déclaration d’amour d’un papa à son fils handicapé.
Le plaisir de voir des copains passionnés qui réussissent à organiser des choses formidables.