Des nouvelles du front...
Comme vous l'aurez remarqué, ce blog est en sommeil depuis pas mal de temps. Un sommeil lourd à peine troublé par quelques trop rares posts...
Est-ce que je ne lis plus? Si, enfin ces dernières semaines non en fait. Il est des périodes comme cela où la vie autour se précipite et prend toute la place. Mon nouveau boulot me passionne toujours tout en me grignotant aussi... Entre les spectacles à aller voir, la vie de maman, un autre boulot qui m'occupe aussi quelques heures par semaine avec de charmants bambins, des sollicitations pour des projets divers et variés (tous stimulants) et quelques cours de danse que je réussis encore à m'accorder, les semaines filent à toute allure.
Les livres s'empilent sur ma table de chevet mais je suis souvent trop fatiquée pour en ouvrir un seul - même ma fille l'a remarqué, elle me disait cette semaine "Mais tu ne lis plus en ce moment?", surprise sûrement de ne pas me voir le nez plongé dans un bouquin aussi souvent qu'à l'habitude.
Je ne désespère pas, je sais que je n'en ai pas fini avec la littérature, loin s'en faut! Il me faut d'abord régler ces problèmes de dos qui commencent même à tourmenter mes nuits (RDV pris chez l'ostéo pour demain matin!), laisser passer cette semaine et le prochain week-end bien remplis car c'est le gala de fin d'année de l'école de danse et peut-être songer sérieusement à relooker ce blog. Genre un nouveau look pour un nouveau départ comme dans ces émissions de télé-réalité... ;-)
En attendant, vais aller faire de la brioche pour le grand bonheur de ma Loulette et tenter de trouver une position qui ne me fasse pas trop souffrir (euh, là, je n'y crois pas vraiment...).
Euh oui, la photo d'illustration mérite une petite explication:
1- j'avais envie de couleur au lieu d'un texte nu
2- c'est une photo tirée d'un superbe spectacle vu vendredi soir "Que ma joie demeure" par la cie Fêtes Galantes. Un petit bijou qui vous distille pendant une heure de la bonne humeur et de la vraie joie franche que l'on a envie de partager. Même avec un mal de dos épouvantable et une grosse fatigue, j'en suis ressortie toute ragaillardie, le sourire aux lèvres et une folle envie de danser! Je n'étais pas la seule: 6 rappels et une heure pour que le public évacue réellement le théâtre tant tout le monde avait envie de rester là et d'en parler. Aaaaaaah!